Julien Ambroise

Julien Ambroise suit la formation Full Stack React Symfony en session live.
Julien Ambroise est en alternance à la 3W Academy. Passionné de développement web, mais également d’équitation et d’enseignement, il arrive aujourd’hui à combiner les trois.
Il commence des études d’histoire, puis enchaîne sur un master en enseignement d’histoire géographie ayant pour but de devenir professeur. Il exerce pendant 5 ans pour l’éducation nationale dans des lycées, collèges et même à l’université. Puis, pendant 2 ans en tant que professeur particulier en histoire-géo et anglais.
Malheureusement (ou heureusement), la pandémie de 2020 le pousse à se réorienter.
“ Les deux dernières années, je n’étais plus sous contrat avec l’Éducation Nationale. Je devais donc trouver mes contrats comme enseignant à domicile. Le covid les a raréfiés, je n’avais plus suffisamment d’heures de travail pour réussir à vivre correctement”.
Et le développement web lui apparaît soudain comme une évidence, ou en tout cas, comme une piste à creuser :
“J’avais déjà une forte affinité avec le développement web. L’informatique m’intéressait, je codais déjà sur mon temps libre avec les langages de base de développement informatique, dont HTML, CSS, Javascript. C’était quelque chose qui me plaisait beaucoup donc j’y ai vu l’opportunité d’en faire mon métier et j’ai cherché une formation pour pouvoir me reconvertir.”
C’est alors qu’il s’ inscrit à la 3W Academy. Il commence par un bootcamp de 4 mois en développement web, afin de réviser les bases du HTLM/CSS, mais aussi d’apprendre le Javascript et le Php, pour être capable de coder en front-end et en back-end. Il voit également certains frameworks tel que Symfony ou JS.
À la fin du bootcamp, il décide alors de poursuivre son parcours avec une formation de Full Stack Développeur d’un an en alternance.
Et l’entreprise qu’il trouve pour l’accueillir est faite pour lui !
“J’ai la chance d’avoir trouvé une alternance dans une sellerie, donc de combiner mes deux passions, le développement web et l’équitation. J’ai pratiqué l’équitation pendant 12 ou 13 ans, je suis tombé dedans un peu comme Obélix dans la marmite de potion magique, à tel point que j’allais au centre équestre régulièrement toutes les semaines.”
Dorénavant, Julien ne fait plus d’équitation, mais il reste toujours autant passionné. Alors travailler à la Sellerie des Nacres est bien la meilleure façon d’être heureux.
“ Je m’occupe principalement de deux projets. Le premier, c’est un logiciel qui permet de gérer la caisse de la sellerie, de facturer les achats des clients, que ce soit sur place en boutique ou via le site internet quand il passe des commandes. Et le deuxième, c’est un logiciel qui permet de gérer toute la vie quotidienne, à la fois de l’écurie et de la sellerie, avec un planning qui permet de prévoir les cours, le temps de travail des moniteurs, d’attribuer les montures aux cavaliers, de gérer leurs licences, le prix des cours, de vérifier si, par exemple, les chevaux ont besoin d’une visite vétérinaire, du dentiste etc… On va avoir par exemple un rappel automatique qui va permettre de savoir qu’il faut prendre rendez-vous, ou encore de gérer également le budget.”
L’avantage, c’est qu’en plus d’être dans un milieu qui lui convient parfaitement, il n’apprend pas du tout les mêmes choses que durant sa semaine de cours. Les logiciels sont différents, alors il apprend deux fois plus.
Et même si les cours et son entreprise lui prennent déjà du temps, Julien ne peut s’empêcher de garder un pied dans l’enseignement.
“ J’ai des semaines assez chargées. Le soir après mes heures de travail à la sellerie ou après mes heures de formation, je continue de donner des cours à des élèves. Non plus par besoin, parce que j’ai déjà un métier, mais vraiment par passion et par envie pour ne pas perdre de contact avec l’enseignement. Il s’agit toujours de cours d’histoire/géographie et d’anglais, avec des élèves qui vont du collège à la terminale. Actuellement j’ai des cours deux fois par semaine. »
A terme, peut-être que Julien combinera l’enseignement et le développement web, ou alors l’histoire.
“J’ai voulu aller vers l’enseignement très tôt, ça m’a tout de suite passionné. Je n’ai jamais vraiment réussi à quitter l’enseignement parce que le fait de partager mes connaissances, c’est quelque chose qui me tient à cœur. Donc pourquoi ne pas devenir formateur dans le développement web plus tard, quand j’aurai quelques années d’expériences, ce serait vraiment une opportunité ! Créer des applications autour de l’enseignement, voire même des applications qui ont un lien avec l’histoire, avec le patrimoine, la culture, des musées, ça pourrait être quelque chose qui me plairait beaucoup.”.
En attendant d’avoir toutes les compétences nécessaires pour mener à bien ses nombreux projets, Julien est déjà très satisfait de pouvoir lier sa passion de l’équitation avec son nouveau métier de développeur web et espère bien, après son alternance, rester dans l’entreprise pour y évoluer.
Pour voir le portrait vidéo de Julien :